L'équilibre, c'est la clé, clairement. Perso, sacrifier mon temps libre... impossible ! Autant rester dans l'affiliation, au moins, je gère mon planning (plus ou moins, hein !). Le burn-out, c'est le truc à éviter absolument.
Mouais, on peut toujours faire des récap', mais ce qui est rarement dit, c'est que parfois, le problème vient de nous. Genre, on vend du rêve, et derrière, la réalité est toute autre. Le client se sent floué, logique. On parle de transparence, mais si le produit est de mauvaise qualité, la transparence, elle sert juste à montrer la misère.
J'ai vu des boîtes promettre la lune, réaliser des ventes record, et puis s'effondrer parce que le service client était inexistant. Ils ont beau faire des questionnaires de satisfaction personnalisés, c'est juste de la poudre aux yeux si derrière, les besoins concrets de la clientèle sont ignorés.
Et puis, y a l'histoire du "temps,c'estdel'argent". On fait attendre les clients, on les balade d'un service à l'autre, on leur fait répéter 15 fois la même chose... Forcément, ça crée de la frustration. Même si on leur offre un coupon-rabais, le mal est fait.
Faut pas se leurrer, une mauvaise expérience client, ça entraîne une perte de clients, une réputation qui en prend un coup, et des difficultés à en acquérir de nouveaux. Et au final, c'est la perte de revenus assurée. Alors, la transparence, la communication, oui, mais faut surtout s'assurer que le produit ou le service est à la hauteur. Sinon, c'est juste un pansement sur une jambe de bois.
Mouais, la technique des devis, c'est du vu et revu. Tout le monde fait ça maintenant. Les vendeurs sont blindés contre ce genre d'approche. Ils ont des outils pour comparer les offres en temps réel, ils savent très bien où ils se situent par rapport à la concurrence.
Le coup de la fin de mois, c'est pas bête, mais ça dépend vraiment des objectifs du concessionnaire. S'ils sont déjà dans les clous, ils vont pas se casser le bonnet pour une vente de plus. Faut plutôt flairer le moment où ils sont un peu à la bourre, mais pas désespérés non plus. C'est un équilibre délicat.
Perso, je pense qu'il faut plutôt jouer sur la psychologie du vendeur. Essayer de comprendre ses motivations, ses contraintes. Montrer qu'on est un client sérieux, mais qu'on n'est pas prêt à se faire pigeonner. Il faut poser des questions techniques, montrer qu'on s'est renseigné sur le modèle, sur les options. Ça prouve qu'on est pas là pour perdre son temps, ni le leur.
Après, faut pas hésiter à parler cash. Proposer un prix ferme, en expliquant pourquoi on estime que c'est le prix juste. Faut avoir des arguments solides. Par exemple, on peut comparer avec le prix de modèles similaires d'autres marques, ou avec le prix de l'occasion récente. Et surtout, faut être prêt à partir si le vendeur ne veut rien entendre. C'est ça, la vraie négociation. Si tu montres que tu es prêt à aller voir ailleurs, ils réfléchissent à deux fois.
En fait, le plus important, c'est d'être préparé. De connaître le marché, de savoir ce qu'on veut, et de ne pas se laisser influencer par le discours du vendeur. C'est un peu comme une partie de poker, faut savoir bluffer et ne pas montrer ses cartes trop vite.